Skip to content Skip to main navigation Skip to footer

Films réalisés par Georgi Lazarevski

Le Jardin de Jad

2007 | 60'0 | France


Réalisation :Lazarevski Georgi
Montage :Salinié Fabrice
Musique :Scott Stephane
Son :Sonderegger Christian

Résumé

Dans les faubourgs de Jérusalem, un hospice de vieillards voit le mur de séparation israélien s’élever à sa porte. Par le jeu du tracé du Mur, le quotidien des hommes et des femmes de cet hospice, de ce home, se trouve bouleversé, car le home, anciennement situé sur le territoire palestinien, se retrouve aujourd’hui en territoire israélien. Les conséquences de cette situation sont que d’un côté les familles des personnes âgées ne peuvent plus se rendre sur place, faute d’autorisation pour franchir cette nouvelle frontière, de l’autre des employés du home, dont les permis de travail, devenus caduques, transforment leurs trajets pour se rendre à l’hospice en véritable parcours du combattant.

Au travers des regards et des témoignages des pensionnaires et du personnel, ce film nous fait découvrir un pan de l’histoire d’hier et d’aujourd’hui. C‘est aussi un témoignage drôle et touchant sur la vieillesse et ses conséquences.

Prix du Meilleur Documentaire à Cracovie.

Zona Franca

2016 | 100'0 | France


Production :Ciao Films | Les Films du poisson
Réalisation :Lazarevski Georgi

Résumé

Zona Franca est une vaste étendue de centres commerciaux désuets au cœur de la province chilienne du détroit de Magellan. Ce territoire porte partout les cicatrices des bouleversements qui transformèrent le dernier espace sauvage de l’Amérique originelle en une vitrine de la société marchande. Un chercheur d’or qui n’a jamais trouvé l’amour, un routier doutant de son combat syndical, un jeune vigile en mal de reconnaissance et quelques autres s’y accrochent encore. Antihéros modernes, ils sont confrontés aux touristes, ambassadeurs d’un monde confiné dans un dépliant de papier glacé...

« C’est d’abord par la splendeur des paysages que Georgi Lazarevski nous fait découvrir ce pan de Nouveau Monde longtemps inconquis. Mais les cadrages disent autre chose que la beauté – peut-être l’angoisse d’y vivre isolé comme Gaspar, chercheur d’or qui peine à joindre les deux bouts. » Charlotte Garson