Ce film se saisit de la cellule élémentaire de la géométrie et la plonge dans un univers coloré luxuriant, comme si chaque point de vue pouvait encore s’élargir considérablement à condition de mettre les lunettes psychédéliques ad hoc. A la sobriété de l’élément de base se voit ainsi opposer une débauche de couleurs, de rythmes et de formes, sans utiliser de caméra. La bande son, réalisée à partir de bruits de photocopieurs, accompagne l’image par des changements de rythme discrets.
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