Production :Sony Pictures Entertainment | Mad House Ltd.
Réalisation :Kon Satoshi
Scénario :Minakami Seishi | Kon Satoshi
Image :Katou Michiya
Montage :Seyama Takeshi
Animation :Ando Masashi
Musique :Hirasawa Susumu
Son :Mima Masafumi
Dans le futur, un nouveau traitement psychothérapeutique nommé PT a été inventé. Grâce à une machine, le DC Mini, il est possible de rentrer dans les rêves des patients, et de les enregistrer afin de sonder les tréfonds de la pensée et de l'inconscient. Alors que le processus est toujours dans sa phase de test, l'un des prototypes du DC Mini est volé, créant un vent de panique au sein des scientifiques ayant développé cette petite révolution. Dans de mauvaises mains, une telle invention pourrait effectivement avoir des résultats dévastateurs. Le Dr. Atsuko Chiba, collègue de l'inventeur du DC Mini, le Dr. Tokita, décide, sous l'apparence de sa délurée alter-ego Paprika, de s'aventurer dans le monde des rêves pour découvrir qui s'est emparé du DC Mini et pour quelle raison. Elle découvre que l'assistant du Dr. Tokita, Himuro, a disparu...
« Un tel maelström visuel, aussi épuisant qu’enthousiasmant, d’une densité telle, que deux visions n’ont pas suffi à en épuiser les richesses. » Libération
« Une étonnante expérience surréaliste. » Télérama
Production :Mad House Ltd. | Rex Entertainment
Réalisation :Kon Satoshi
Scénario :Murai Sadayuki d'après l’œuvre de Yoshikazu Takeuchi
Image :Shirai Hisao
Montage :Ogata Harutoshi
Animation :Morita Hiroyuki
Musique :Ikumi Masahiro
C'est sans regret que Mima, chanteuse, quitte son groupe pour se consacrer à une carrière de comédienne. Elle accepte un petit rôle dans une série télévisée. Cependant son départ brusque de la chanson a provoqué la colère de ses fans et plus particulièrement celle de l'un d'eux. Le mystérieux traqueur passe à l'acte en dévoilant en détail la vie de la jeune femme sur Internet, puis en menaçant ses proches. Plusieurs incidents violents se produisent dans l'entourage de Mima et elle réalise que son existence se confond dangereusement avec la série télé.
« Film bleu, film parfait, Perfect blue ne dément jamais les promesses de son titre. Avec cette oeuvre réflexive tant dans sa forme que dans son sujet, Satoshi Kon radiographie notre monde des images et élève le dessin animé japonais vers les sommets de l'art cinématographique. » Olivier Père – Les Inrocks
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