Production :Narrative, Une chambre à soi Productions
Réalisation :Ferhani Hassen
Scénario :Ferhani Hassen
Interprétation :Lamine Amar-Khodja | Tewfik Rays | Khaled Benaïssa | Maatouk Samir | Azzedine Oualikene | Kamel Oualikene | Chafik Rouag | N.M, Hania Guellati | Sofiane Mesbah | Youghreta et Zoubida
Image :Bokhari Houssem | Ferhani Hassen
Montage :Bokhari Houssem | Ferhani Hassen
Musique :Daniel J. White
Son :Johan Abour Bergman | Ghebriout Akli
Une balade dans le quartier de Cervantès à Alger à la recherche des personnages et des histoires qui y sont nés : de Tarzan et Jane à Don Quichotte, réalité et fiction s’entremêlent. Le souvenir collectif d’un quartier croise celui de l’histoire du cinéma. Un court métrage fantaisiste à mi-chemin entre comédie cinéphile et légendes urbaines.
Réalisation :Ferhani Hassen
Interprétation :Amine | Halim | Ali et madame Dalila | Ali Bey | Hocine | Youcef
Dans le plus grand abattoir d’Alger, des hommes vivent et travaillent à huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tâches et de leurs rêves. L’espoir, l’amertume, l’amour, le paradis et l’enfer, le football se racontent comme des mélodies de Chaabi et de Raï qui cadencent leur vie et leur monde.
« Le goût pour les images, les énigmes, les chansons traverse ce monde violemment concret et que la caméra de Ferhani restitue dans sa palpitation de bête vivante et sacrifiée. » Libération, Didier Péron « Hassen Ferhani cherche, avant tout, à capter l’humanité de ces hommes qui travaillent dans ce lieu de mort, et qui discutent de musique, de foot, d’espoir. Touchant et poétique, le film est un reportage superbe. » Le nouvel observateur « Avec ces figures humbles Hassen Ferhani a su établir une proximité et une familiarité propres aux confidences. On retiendra en particulier les dialogues et monologues de Youssef et d'Houcine, qui parlent d'amour, mais aussi de leur terrible sentiment d'étouffement, privés, jugent-ils, de tout avenir, en Algérie. C'est là le rond-point qu'évoque le titre de ce documentaire : un cercle tourbillonnant mais semblant ne mener nul part. » La vie, Frédéric Theobald
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