Production :Vulcan Productions, Reverse Angle International
Réalisation :Levin Marc
Scénario :Levin Marc
Interprétation :D. Chuck | Common | Taylor Koko | Waters Muddy | Howlin’Wolf
Image :Benjamin Marc
Montage :Eisenhardt Bob
La légende du hip-hop Chuck D. et Marshall Chess (héritier de Chess Records, LA maison de disque du blues de Chicago) reviennent sur les traces de la grande époque du Chicago Blues. Ils décident de produire ensemble un album qui réunit des vétérans du blues et des musiciens hi-hop contemporains. Le film se construit en allers-retours entre concerts d’aujourd’hui (Koko Taylor, Otis Rush, Magic Slim, Ike Turner, Sam lay) et d’hier (Muddy Waters). « Noirs et Juifs = blues, c’est ça Maxwell street ! ». La rencontre entre les juifs de Pologne et les noirs du Mississipi fuyant la ségrégation, c’est aussi un des sujets du film de même que la transmission « Ce sont les racines qui font les fruits » en regardant ce qui c’est passé du côté de Jimmy Hendrix, des Rolling Stones et du Rap. Marshall Chess : « Les uns disent qu’on aime les nègres, d’autres qu’on arnaque nos artistes. En fait on voulait la même chose, une vie meilleure. »
À l’initiative de Martin Scorcese, sept réalisateurs, tous passionnés de musique, remontent aux sources du blues, en conjuguant leur talent de cinéaste et leur passion de la musique.
Réalisation :Levin Marc
Ray Joshua, mi-rappeur, mi-poète, vit à Dodge City, cité à haut risque de Washington DC. Un jour, alors qu’il discute avec son dealer, celui-ci est abattu à bout portant sous ses yeux. Ray est alors arrêté et incarcéré en attendant son procès, il risque dix ans de réclusion. Il se retrouve plongé dans l’impitoyable univers carcéral: une prison où chacun se trouve obligé de choisir entre deux bandes rivales. Mais Ray n’est pas un prisonnier comme les autres. Il pratique le slam, mélange de poésie et de rap, qu’il utilise pour se faire respecter. Lauren Bell, une jeune enseignante qui apprend l’écriture aux prisonniers, le remarque et va tenter de l’aider à s’en sortir.
Slam, est un film tourné en douze jours et en grande partie improvisé, ce qui n’enlève rien à la qualité du film, bien au contraire, et lui confère une certaine spontanéité et une authenticité certaine.
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