1962 | 29 min |
La troisième guerre mondiale a éclaté. Elle a envahi tout l’espace terrestre de ses destructions et de celles que perpétue la radioactivité. La seule voie ouverte pour chercher un secours ou une issue, c’est le temps. La fuite dans le temps, soit Passé, soit Avenir, devient le problème no 1 à résoudre. Les savants se mettent à l’œuvre dans les camps de concentration souterrains de la guerre atomique. Le héros du film connaîtra, avant sa fin dramatique, une émouvante histoire d’amour auprès d’une femme vivant dans un autre temps.
1962 | 136 min | France
Réalisation : Pierre Lhomme | Chris Marker
Production : La Sofra
Scénario : Catherine Varlin | Chris Marker
Image : Pierre Lhomme
Musique : Michel Legrand
Son : Antoine Bonfanti
Paris, mai 1962. La guerre d'Algérie vient de s'achever avec les accords d'Evian. En ce premier mois de paix depuis sept ans, que font, à quoi pensent les Parisiens ? Chacun témoigne à sa manière de ses angoisses, ses bonheurs, ses espoirs. Peu à peu, se dessine un portrait pris sur le vif de la France à l'aube des années 60.
1958 | 60 min | France
« Je vous écris d’un pays lointain. On l’appelle la Sibérie.
A la plupart d’entre nous, il n’évoque rien d’autre qu’une Guyane gelée, et pour le général tsariste Andréiévitch, c’était « le plus grand terrain vague du monde». Il y a heureusement plus de choses sur la terre et sous le ciel, fussent-ils sibériens, que n’en ont rêvées tous les généraux.
Tout en vous écrivant, je suis des yeux la frange d’un petit bois de bouleaux, et je me souviens que le nom de cet arbre, en russe, est un mot d’amour : Biriosinka ».
Un « essai à la fois historique et politique encore qu’écrit par un poète. » André Bazin, « Chris Marker, Lettre de Sibérie », France- Observateur, 30 octobre 1958.
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