Production : Shaw Brothers, Run Run Shaw
Réalisation : Chung Chang-Wa
Scénario : Yeung Kong
Interprétation : Lo Lieh | Pin Wang | Hsiung Chiao | Chin-Fen Wang | Mien Fang | Feng Tien
Image : Wang Yunglung
Montage : Hsing-Lung Chiang | Kung Wing Fan
Musique : Yung-Yu Cehn
Chih-Hao est un jeune élève doué, à qui son maître n’a plus rien à enseigner. Il est envoyé chez un autre maître réputé. D’abord affecté à des tâches anodines, il intègre rapidement les cours et affronte les autres élèves. Bientôt, un tournoi de Kung Fu entre écoles décidera de la meilleure d’entre elles. Mais les basses manœuvres de certains clans pour anéantir les éventuels challengers sèment la panique dans les écoles. Un père et son fils, assistés de redoutables mercenaires japonais s’attaquent à Chin Hao et lui brisent les mains. Convalescent, Chih-Hao redouble de courage, d’énergie pour guérir et s’entraîner deux fois plus fort. Son vieux maître fatigué lui enseigne alors une technique secrète, qui peut le rendre invincible : la technique de "la Main de Fer" … !
LE FILM QUI A RÉVOLUTIONNÉ LE CINEMA D’ARTS MARTIAUX Véritablement mythique, LA MAIN DE FER est, avec La Fureur de Vaincre de Bruce Lee et Le Justicier de Shanghai, l’un des tous premiers films de combat à mains nues. Mais c’est surtout devenu un véritable phénomène lors de sa sortie en Occident, faisant de Lo Lieh la première véritable star du kung-fu hors de Hong-Kong. Film-culte ayant marqué toute une génération, Quentin Tarantino le considère comme une de ses œuvres de chevet et lui rend un hommage appuyé dans Kill Bill, empruntant à la fois sa très caractéristique musique et certains de ses effets (les fameux filtres rouges).
"ce joyau de 33 ans brille par la progression lente et intense de la tension narrative et une mise en scène frontale et sans fioritures" - Zurban, Olivier Pélisson "Ce film presque austère, sans autres effets que les zooms de la caméra, gagne graduellement en intensité, pour culminer lors d’une haletante compétition finale. Impeccable." L’Humanité, Vincent Ostria "Cette pépite sino-hong-kongaise du cinéma d’arts martiaux, qui anticipe le sacre de Bruce Lee, fit comprendre à l’Occident estomaqué, qu’on pouvait fort bien se montrer aussi dévastateur à mains nues" Libération, Antoine De Baecque
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